Le roman policier n’est pas qu’un genre. Mes histoires sont celles de la vie.

Planter un décor et le rendre vivant ou reconnaissable m’ont passionné. Sur des faits réels et avérés, j'ai greffé une histoire imaginaire et originale, ce qui rend le tout passionnant à écrire, peut-être aussi à lire. Le Léman et Lavaux m’inspirent et sont indissociables de mes écrits. Ils constituent autant de microcosmes que de scènes de crime.

Dans un cadre idyllique et à la surface d’un lac parfois dangereux, Disparue en Lavaux, édité par les Editions Mon Village, reprend le thème de la disparition. Rappelons qu’elle est légale et n’implique pas nécessairement qu’un cadavre sorte du tiroir. La récidive est l’un des thèmes abordé.

Suspense jusqu'à la dernière page!

Via Jacobi, un ouvrage illustré de 170 pages tout récemment paru aux Editions de la Rive, est un témoignage. J’y décris des sites culturels et religieux, y dévoile des impressions, raconte l’histoire et fait parler des témoins d’hier et d’aujourd’hui. Le Chemin passe par des figures historiques comme Nicolas de Flüe ou Arnold von Winkelried et révèle des personnalités plus contemporaines comme la fille de Staline cachée à Fribourg ou la tombe de l’acteur Richard Burton. Des personnes croisées en chemin m’ont accompagné discrètement, comme cette patronne de bistrot qui ne lisait pas le Livre d’Or qu’elle tendait à ses clients, pour ne pas avoir à se pencher sur le passé.

Je fournis aussi quelques adresses avec l’espoir que vous aussi, ami lecteur, vous vous mettiez en route.

Le disparu de Lutry  m’offre l’occasion de décrire les rives du lac, ses habitudes, le quotidien des régatiers, d’ériger en personnage un fabuleux voilier, le Toucan, et de réinstaller les enquêteurs du  disparu de Moratel dans une énigme menée depuis Lutry où la mort n’est pas celle qu’on attendait...

Tout ou presque a été dit ou écrit sur la Route 66, souvent avec bonheur.

Pourtant il manquait à mon sens une touche personnelle. C’est une route vivante. On peut l’écrire ou la réécrire à tout moment...

Chaque port a ses inconditionnels, son cercle, son garde, ses membres du Sauvetage, ses différentes sociétés locales et ses habitudes. Moratel existe. C’est le port de Cully ancré dans la baie du même nom, un lieu tranquille fait d’une plage, d’un restaurant agrémenté d’une jolie terrasse, d’un camping et d’un port...